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 Documents d'architecture fatimide d'occident

DOCUMENTS D’ARCHITECTURE FATIMITE D’OCCIDENT

PAR SLIMANE-MOSTAFA ZBISS

 

Dans la Première partie de son dernier ouvrage The Muslim Architecture of Egypt (Oxford, 1952), le grande maître de l’archéologie musulmane, M. Creswell, nous donne une documentation aussi exhaustive que sûre sur l’architecture fatimite d’Orient, documentation que nous attendions depuis longtemps et que nous saluons avec joie.

Nous avons pensé qu’il serait utile de donner ici, comme pendant à l’ouvrage magistral de M. Creswell, un premier aperçu de cette même architecture fatimite en Occident en présentant quelques monuments repérés jusqu’ici. Par architecture fatimite d’Occident, nous entendons, non pas celle qui correspond à la période occidentale de la dynastie des Obaidites, c'est-à-dire jusqu’au transport au Caire du Calife al-Mu’izz li-din Allah en 362/972, mais la période de 250 ans environ qui va de l’avènement de cette dynastie en 292/908 jusqu’à la prise de Mahdiyah en 555/1060 par l’Abd al-Mu’min ibn Ali et l’annexion de la Tunisie à l’empire almohade. Cette division nous semble commode parce qu’elle correspond au moins en théorie à l’hégémonie fatimite sur le Maghreb, hégémonie qui ne devient définitivement caduque qu’avec la conquête almohade. La division aussi est commode parce que l’architecture occidentale, malgré une évolution normale, conserve des caractéristiques propres, une unité, une harmonie et une homogénéité qu’elle perdra en majeure partie avec les Almohades qui introduisent sur le site ifriqien une architecture nouvelle et impriment à l’art traditionnel une orientation nouvelle.

Né à Mahdiyah, l’art fatimite, qui prend source aux traditions antiques occidentales, se transporte à un moment donné en Egypte, où son évolution dans ce nouveau milieu revêtira un certain aspect, l’aspect décrit par M. Creswell. C’est de l’aspect qu’a revêtu son évolution sur place, que nous essayerons de parler ici, c'est-à-dire : sous les fatimites proprement dits (avant leur départ pour le Caire) ; sous leurs lieutenants, les Zirides, jusqu’à l’invasion hilalienne ; sous les reyes de taïfas, principicules issus de la crise hilalienne.

Nous laisserons de côté les monuments connus, comme la grande mosquée de Mahdiyah que M. Creswell a remarquablement décrite, dans l’ouvrage cité plus haut, comme ceux étudiés par M. Georges Marçais dans son l’Architecture musulmane d’Occident (Paris, 1955) et en particulier les monuments de la Qal’al des Bani Hammad. Notre exposé portera donc uniquement sur des documents inédits et  existant seulement sur le territoire tunisien.

LA COUPOLE DU BAHOU DE LA GRANDE MOSQUEE DE TUNIS

Au centre de la galerie intermédiaire entre le sanctuaire et la cour, à l’extrémité nord de la nef centrale, se trouve une coupole dite Qubbat al-hahou ou al –bouhour. Cette coupole, insuffisamment connue jusqu’ici, est pourtant un prototype et un fil conducteur. Nous allons essayer d’en dégager les caractéristiques qui nous permettront d’identifier d’autres monuments sur lesquels planait une obscurité complète. En effet, avec la coupole du bahou, nous avons un monument daté. La date 381/991 qui s’y trouve explicitement exprimée, indique que l’édifice fut construit à peine vingt ans après le départ  des Fatimites pour l’Egypte et en même temps qu’on construisait la mosquée cairoise d’al-Hakim (380 – 404/990-1013).

La coupole du Bahou de la grande mosquée de Tunis est essentiellement  une coupole ifriqienne dont les deux principaux types sont les coupoles du mihrab de la grande mosquée de Kairouan et de Tunis : coupole sur trompes en coquille couvertes d’un dôme côtelé. On y retrouve les mêmes niches, les mêmes arcatures aveugles et la même disposition des zones de construction : support de plan carré surmonté, au dessus de la zone des trompes, d’un dispositif de plan octogonal qui évolue vers le cercle à sa partie supérieure et sur lequel vient s’agglomérer la calotte terminale.

Une nouveauté pourtant dans notre coupole du bahou : c’est la décoration extérieure. Tous les arcs sont circonscrits d’une corniche moulurée. Pour les arcs isolés ces corniches retombent de part et d’autre sur des corbelets. Pour les arcatures, ces corniches se poursuivent sans solution de continuité. Sur la façade principale (façade nord), les écoinçons de l’arc central de support sont meublés par deux niches à fond plat ; le fond plat est précédé d’un décrochement. Ce fond, surmonté d’un arc recticurviligne retombant au moyen d’un motif serpentiforme, est meublé par une mosaïque de petits éléments en pierre de sable que nous appelons « hirch » en Tunisie. Ces éléments sont bicolores : la couleur naturelle alterne avec le rouge obtenu par immersion dans une solution d’ocre rouge diluée dans du lait. Les parements extérieurs de ces niches sont constitués, jusqu’à hauteur des arcs, par un appareil alterné et bicolore. Les arcs sont appareillés au  moyen de claveaux bicolores. Une corniche, surmontant horizontalement le grand arc de support, à hauteur de la toiture, retombe verticalement, de part et d’autre des niches des écoinçons, sur des corbelets.

Dans la zone supérieure, c'est-à-dire dans la zone du massif carré, on voit une niche centrale à fond plat, lequel fond est surmonté d’un arc trilobé. Cette niche est flanquée de part et d’autre d’une niche à fond semicylindrique meublé par un damier bicolore surmonté d’une coquille rayonnant du fond. Chaque coquille est bordée, à l’extérieur, par un bandeau en forme d’arc qui donne aux concavités terminales des cannelures de coquilles, l’allure d’un chapelet d’alvéoles. Notons pour ces niches deux décrochements, alors que, plus bas, il n’y en a qu’un seul. Notons, par contre, le clavage bicolore identique des arcs extérieurs et intérieurs.

Les écoinçons extrêmes sont en appareils alternés et bicolores. Les deux écoinçons intérieurs sont constitués par des chevrons bicolores. Un bandeau de carrés rouges posés sur la pointe, sur fond couleur sable, court immédiatement au-dessous de la corniche qui surmonte cette zone carrée de la coupole sur sa face nord. Sur la face sud, le surhaussement de la nef centrale du sanctuaire n’a permis aucun décor. Par contre, les faces est et ouest sont identiques à la face nord, sauf que la niche centrale, profondément défoncée, est surmontée d’une coquille rayonnant du fond dont la découpure extérieure adopte la forme d’un arc reticurviligne à motifs serpentiforemes.  Une autre différence tient dans le fait que les niches flanquantes, à fond creux, ne comportent pas de décor. Les deux cannelures inférieures sont bouchées et portent, en lettres coufiques en relief, le mot : Allah. Une dernière différence vient de ce que les arcs de la face nord sont des plein-cintres tandis que ceux des faces est et ouest sont outrepassés.

Nous voilà maintenant à la zone octogonale. Elle comporte huit niches, toutes percées aujourd’hui et munies de châssis vitrés. Il est fort possible qu’à l’origine elles étaient alternativement ouvertes et aveugles. Toutes sont surmontées de coquilles rayonnant du fond. Les écoinçons sont meublés par un appareil de lits horizontaux jaunes alternant avec les lits rouges. Les trumeaux, rejointoyés de blanc jusqu’à hauteur des arcs voisins, sont décorés d’un réseau mosaïqué blanc, rouge et couleur sable, avant de s’épaneler en console à feuilles d’acanthes, au-dessous d’une épaisse corniche moulurée. Au-dessus de cette corniche, le tambour octogonal s’est déjà transformé en tambour circulaire, prêt, par conséquent, à recevoir la calotte hémisphérique côtelée qui est le couronnement de notre coupole du bahou.

Nous avons dit, plus haut, que cette coupole était une synthèse de l’art fatimide et un fil conducteur qui nous a permis d’identifier une série de monuments jusqu’ici obscurs.

LA MOSQUEE «EL ISHBILI »

Parmi ces monuments citons l’oratoire dit masjid El-Ishbili qui se trouve à peine à 100 mètres au sud de la grande mosquée de Tunis. La façade de ce petit sanctuaire est faite entièrement d’un appareil de hirch (pierre de sable). On y distingue trois registres. Le registre inférieur en appareil alterné est percé de trois portes rectangulaires de dimensions égales. Le registre médian, en appareil alterné également, est percé de trois baies surmontées d’arcs en plein-cintre. Circonscrivant les claveaux de chaque arc, une corniche enjambées sur des modillons. Le registre supérieur est formé par une platebande appareillée, surmontée d’un bandeau nu que vient couronner une corniche. Dans cette façade appareil alterné, les corniches - circonscrivant les arcs des baies - lesquelles n’étaient pas toutes des baies à l’origine mais très probablement des niches à fond plat- la corniche supérieure délimitant, en hauteur, toute la composition, cela ne rappelle-t-il pas assez certains éléments de la coupole du bahou ? Sans doute. Mais voici quelques chose de plus probant encore : le mihrab de la mosquée. On y retrouvera la mosaïque bicolore en hirch, les lits horizontaux de couleur alternée, etc… une juxtaposition de la coupole du bahou et du mihrab nous évitera une longue description. Elle démontre leur identité d’une façon évidente. Par conséquent, nous nous croyons fondé à déclarer que ces deux monuments sont contemporains et même, peut-être, qu’ils sont dus au même maître d’œuvre. La mosquée « El-Ishbili » à Tunis pourrait donc être datée, sans risque d’erreur, des environs de 380/999.

LES PORTES ET PORCHES DE LA GRANDE MOSQUEE ZAYTUNAH DE TUNIS

Sur la façade extérieure orientale de la grande mosquée de Tunis se trouvent deux portes dont l’une est datée de 457/1064, ce qui correspond à l’une des premières années de l’invasion hilalienne en Tunisie et à l’une des premières années de l’avènement à Tunis d’un gouvernement démocratique autonome ayant pour chef Abd al-Haqq b. Khorassan. La parenté du décor de la façade de ces deux portes avec la coupole du bahou et la façade de la mosquée « El Ishbili » est apparente.

Sur le côté nord, la grande mosquée Zaytunah donner sur le Suq al-Atarin, par deux porches monumentaux dont l’un est daté de 474/1081. L’inscription qui s’y trouve en attribue la fondation à Abd al-Haqq b. Khorassan et nous donne même le nom des architectes. Ces deux porches sont malheureusement masqués par des constructions parasites. Néanmoins, par les parties apparentes l’on peut voir, surtout du haut des terrasses, la parenté de leur décor avec celui des monuments précédents.

Sur la façade ouest qui donne sur le « suq » des étoffes, l’enceinte de la grande mosquée Zaytunah est percée de trois ouvertures en avant-corps qui sont également masquées par des constructions parasites. Nous avons réussi à en dégager partiellement une et à la décaper. Son identité avec ce qui précède n’est pas contestable. Cela nous autorise à dire que, s’il n’est pas prouvé que les Banu-Khorassan ont refait entièrement l’enceinte de la Zaytunah, il est cependant assuré qu’ils en réaménagèrent toutes les portes, (sauf celle du sud qui semble ne pas avoir bougé depuis le neuvième siècle).

LA MOSQUEE AL-MIHRAS A TUNIS

De cette mosquée, il ne reste que la partie supérieure de la façade principale qui porte une inscription datée de 485/1092 (fig.9). elle procède également, comme on le voit, du même art.

LA COUPOLE DE SIDI BOU KHRISSAN A TUNIS

Cette coupole est datée de 486/1093. Elle fut construite de leur vivant, par deux princes khorassanides pour leur servir de lieu de sépulture, après leur mort. L’inscription de fondation nous signale que l’un de ses constructeurs est aussi celui qui avait construit le porche de la Zaytunah donnant sur le Suq al-Attarin.

Coupole sur piles, à claire-voie à l’origine, cet édifice menaça rapidement de s’écrouler : la portée des arcs était trop grande pour la charge qui leur était confiée. Aussi y eut-il, de bonne heure, un rétrécissement de ces arcs par l’adjonction d’arcs nouveaux reposant sur des colonnes. Ce sont les chapiteaux archaïques de ces colonnes qui nous autorisant à assigner à ce travail une date très proche de la construction de la coupole. Si, à l’intérieur, la coupole présente tous les attributs ifriqiens classiques (trompes en coquille), voussures concentriques en encorbellement, etc..), à l’extérieur, elle présente un aspect nouveau signalés, ci-dessus : l’appareil systématiquement alterné, les corniches concentiques enveloppant le clavage bicolore de hirch, etc …Jusqu’au tympan employé autant pour monument, qui ne soit en harmonie avec le reste, bien qu’il représente une troisième phase de travaux. Il suffit pour s’en rendre compte de considérer la corniche supérieure, la plate-bande appareillée bicolore qui constituait un linteau à l’origine, enfin l’appareil alterné qui surmonte cette plate-bande.

LA COUPOLE MSID AL-QUBBAH A TUNIS

Cet édifice à claire-voie est de la même famille que la coupole de Sidi Bou Khrissan bien qu’apparemment plus archaïque. Mais à défaut d’éléments de datation sûre, force nous est de classer cette coupole du Msid al-Qubbah comme contemporaine de la coupole de Sidi Bou Khrissan, c'est-à-dire, comme étant un édifice de la fin du onzième siècle.

LA MOSQUEE DU Q’SAR A TUNIS

Construite dans les vingt premières années du douzième siècle, par le grand Khorassanide Ahmad, cette mosquée à, comme mihrab, une niche à coquille rayonnant du fond, exactement identique aux niches de la coupole du bahou de la Zaytunah. De plus, la partie semi-cylindrique est meublée par des arcatures aveugles identiques à celles repérées par M. Georges Marçais, dans l’ancien mihrab fatimite de la grande mosquée de Mahdiyah.

En outre, la mosquée d’al-Qsar présente à l’est une façade dont les ouvertures son surmontées par des voussures concentriques en encorbellement et de corniches moulurées. Ne disposant pas de photos de cette partie qui est masquée par un mur et des arbres, nous en donnerons une idée en présentant le cloître de l’église San-Giovanni à Palerme.

Les mosquées tunisoises comme Sidi al-Nu’man, à Tunis, de la rue de la tente à Tunis, et Maghouch, ont d’évidence un air de famille avec les monuments signalés plus haut.

On n’ira pas plus loin avant de présenter quelques-uns des monuments d’art arabe des Normands de Sicile : le Palais de la Kubbah ; le Palais de la Zizah ; le Palais royal ; le clocher de San-Giovanni ; l’église de San-Cataldo dont le crénelage rappelle étrangement celui du minaret de la grande mosquée de Sfax qui lui est contemporaine ; la partie ancienne de l’église de l’amiral Jean d’Antioche et surtout sa coupole qui rappelle un peu celle du Bahou de la Zaytunah.

Sans vouloir aller jusqu’à des conclusions très poussées, on ne manquera tout de même pas de constater un fait : la proche parenté de ces deux arts, celui de Tunis et celui de Palerme.

Nous disons bien Tunis et non Tunisie, car les autres villes de notre pays ont pour cette période, un art différent. Signalons pour mémoire, à Sousse : la mosquée al-Baqqalin ; le four dit « Kouchat El-Haram, qui devait être, a l’origine, un palais et où l’on trouve aujourd’hui une curieuse niche fatimite.

Signalons, pour Monastir : la mosquée « ed-Dizz » ; la mosquée al-Tawbah ; le bain qui se trouve à proximité de la grande mosquée.

Pour Sfax, signalons, une petite mosquée dans une tour des remparts et qui se signale par une corniche à modillons concentrique par rapport à l’arc de tête et que nous trouvons sur la façade du onzième siècle de la grande mosquée locale.

Pour Tunis, nous signalerons encore quelques autres oratoires qui différent de la série présentée plus haut mais qui ont leur place, sans aucun doute, dans la période fatimite. Ce sont : la mosquée de la rue El-Khomsa  ; la mosquée el-Fâl; la mosquée Sidi Mansur ; la mosquée du Suq al –Sakkajin ; la mosquée de la Place Sidi Ali Azzouz ; la mosquée du Suq el-Grana, à hauteur du Suq du Cuivre : la mosquée de la rue Sidi Mahrez, à hauteur de la rue Lakhoua ; la mosquée de la rue Sidi Ban Arous, près de la Place Romdhane Bey ; la mosquée de la rue Sidi Ben Arous ; la Mosquée de la rue des Teinturiers.

Voilà le fruit des travaux de prospection que nous avons accomplis jusqu’ici et que nous ne comptons pas interrompre. En effet, l’avenir semble réserver à la recherche, dans ce domaine, de riches perspectives qui nous permettrons d’étoffer d’avantage le chapitre de l’architecture fatimite d’Occident. Si nous nous sommes presque cantonnés dans les édifices religieux, c’est que, à part le Palais d’al-Qa’im à Mahdiyah et le Palais d’al-Mansur à Sabrah-Mansuriyah dont la fouille n’est pas encore achevée, et à part le « Kouchat El-Haram » à Sousse et le Bain de Monastir – à part ces quatre monuments – nos investigations ne nous ont pas permis de repérer un plus grand nombre d’édifices autres que les monuments religieux qui doivent, d’ailleurs, leur survie au caractère sacré qui s’attache à eux.

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